Miss Peregrine et les enfants particuliers

À la mort de son grand-père, Jacob découvre les indices et l’existence d’un monde mystérieux qui le mène dans un lieu magique : la Maison de Miss Peregrine pour Enfants Particuliers. Mais le mystère et le danger s’amplifient quand il apprend à connaître les résidents, leurs étranges pouvoirs …  et leurs puissants ennemis. Finalement, Jacob découvre que seule sa propre "particularité" peut sauver ses nouveaux amis.

Le dernier chef d’oeuvre de Tim Burton, pour moi, remonte déjà à 2004 avec Big Fish. Depuis, sa filmographie est plutôt sur des montagnes russes, plus basses que hautes, où seul Dark Shadows sort un peu du lot. Après le ratage Big Eyes, il ne se rattrape pas avec ce Miss Peregrine. Rien de bien original ici. Une histoire pour enfants longue, ennuyeuse et sans aucune émotion. Quelques effets spéciaux réussis et surtout une Eva Green (en haut d'une très belle distribution il est vrai), comme toujours, parfaite. Mais c’est tout. Si l’univers du réalisateur est là, entre décors gothiques et personnages fantastiques, la magie n’opère plus. Dommage.