14 Février 2017
Pas prévu à mon programme à l’origine. J’ai donc lu les avis de mes amis blogueurs, tous dithyrambiques, ce qui a, bien sûr, déclenché mon envie. Si je n’en sors pas aussi bouleversé que certains, c’est sans doute, à contrario, pour ce qui fait la singularité du film. C’est ce mélange de fiction et de documentaire. Pour moi, on sent trop la mise en scène, la scénarisation. Il en résulte un manque de spontanéité, et du coup, d’émotion. On a du mal à s’attacher aux jeunes garçons. Les conversations et les situations finissent par tourner un peu en rond. Loin de toute fascination, j’y ai pas vu l’intérêt et le trouble que j’attendais. Brothers of the night reste malgré tout une certaine expérience de cinéma, très stylisée, entre fiction et réalité, entre rêves et cauchemars. Mais beaucoup trop froide, nous laissant donc à distance, pour au final n’être pas assez convaincante pour être indispensable...