Dans un univers extraordinaire vit un jeune homme ordinaire, Adam, qui tente de joindre les deux bouts dans un monde détruit par la guerre. Tout en luttant pour avancer dans la vie, il est hanté par le souvenir d’une belle jeune fille venant d’un monde d’abondance : Eden. Dans cet univers, son monde se trouve juste au-dessus de celui d’Adam - si près que lorsqu’il regarde vers le ciel, il peut voir ses villes étincelantes et ses champs fleuris. Mais cette proximité est trompeuse : l’entrée dans son monde est strictement interdite et la gravité de la planète d’Eden rend toute tentative extrêmement périlleuse.
Sur l'affiche on nous annonce à la fois du Roméo et Juliette et du Inception. On est certes plus proche du premier que du second. Mais n'est pas Shakespeare ou Nolan qui veut. Juan Solanas, dont c'est le deuxième film, n'est ni l'un ni l'autre, vous l'aurez compris. Si l'idée n'est pas mauvaise, le traitement est quant à lui complètement tarte. D'aucun y verront une belle histoire d'amour et un conte futuriste, quand d'autres (comme moi) qu'une comédie romantique gnan-gnan et cul-cul la praline au possible. Le réalisateur n'exploite pas du tout l'univers qu'il a créé. C'est dommage car il est pourtant très intéressant. La dualité entre les gens d'en haut et ceux d'en bas, les riches et les pauvres, la lumière et l'obscurité, une vraie parabole de notre société...Mais non, tout cela ne sert que la romance amoureuse dont on a strictement rien à faire. De plus les acteurs, Jim Sturgess et Kirsten Dunst ne sont pas spécialement bons, seul Timothy Spall s'en sort honorablement. Aussi raté sur le fond, que réussi sur la forme. La prouesse technique est à noter mais Upside Down reste quand même tout à fait dispensable...
Salut, tout ce que tu dis est vrai mais moi j'y ai trouvé mon compte dans cette romance hors norme. Dis-moi, tu es passé sur le nouvel Overblog. Tu en as fait la demande ? Bonne journée
Oui je suis passé. Pas fait la demande mais j'ai reçu l'émail pour la migration. De toute façon ils font passer tout le monde d'office en septembre. Comme ça c'est fait...