Sur l'île d'Amami, les habitants vivent en harmonie avec la nature, ils pensent qu'un dieu habite chaque arbre, chaque pierre et chaque plante. Un soir d'été, Kaito, découvre le corps d'un homme flottant dans la mer, sa jeune amie Kyoko va l'aider à percer ce mystère. Ensemble, ils apprennent à devenir adulte et découvrent les cycles de la vie, de la mort et de l'amour…
Le Japon nous offre souvent de très beaux films (Shokuzai, Tel père tel fils, Guilty of romance...) voir des chefs d'oeuvres (Departures). Pour ma part, Still the water (en compétition officielle à Cannes cette année) ne rentre dans aucune des deux catégories. Je me suis rarement autant ennuyé au cinéma. D'ailleurs, j'ai fini par m'endormir profondément et j'ai raté la seconde moitié du film. D'après ce que j'ai entendu par-ci par-là, elle a l'air, de toute façon, d’être aussi ennuyeuse que la première. Je ne me prononcerais donc pas plus avant sur ce film de Naomi Kawase (le premier, enfin presque, que je vois d'elle). Cela a juste été pour moi un excellent somnifère...